2015年9月谢士棋小朋友背春晓 https://drive.google.com/file/d/0B_A6XH3uoY7xQ2Q1OGFjR2FFU2c/view?usp=sharing

“Ce poème a été écrit par Meng Haoran (孟浩然). Meng Haoran est un poète qui a vécu sous la dynastie des Tang. Dans ce poème, l’auteur montre son sentiment que le printemps est très agréable et devrait être précieux.” -Princess Serenity.

春晓 (Chun Xiao)  Aube de printemps

(Chinois)

春眠不觉晓,  Chūn mián bù jué xiǎo,
处处闻啼鸟。  Chù chù wén tí niǎo.
夜来风雨声,  Yè lái fēng yǔ shēng,
花落知多少。  Huā luò zhī duō shǎo.

(Français)

Quand je dors au printemps, je ne vois pas l’aube.
Partout on entend les oiseaux chanter.
Cette nuit, j’ai entendu le bruit du vent et de la pluie.
Au matin, qui sait combien de fleurs sont tombées.

(source:http://www.mamalisa.com/?t=fs&p=3742)

autre explication et traduction

C’est un poème de Meng Hao-ran 孟浩然, (689-740), contemporain de Du Fu, Wang Wei et Li Po entre autre… Ce cher homme vécu le plus clair de son temps en ermite et ses poèmes les plus célèbres décrivent la nature.

Traduction de l’édition de Paul Demiéville, 1962,  éditions Gallimard :

Aude de Printemps

Au printemps le dormeur, surpris par l’aube,
Entend partout gazouiller les oiseaux.
Toute la nuit, bruit de vent et de pluie :
Qui sait combien de fleurs ont dû tomber!
(source: http://parisbeijing.over-blog.com/tag/poesie%20chinoise%20classique/2)

論《春曉》的三種譯本http://big.hi138.com/yingyu/waiyufanyi/200907/50704.asp#.VvgJiEedx80